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Nous sommes beaucoup à espérer,
Quelques uns à comprendre . . .
Que peu importe la distance qui nous sépare,
Ce lien que nous avons tous nous réunira toujours .
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Quand je t'ai perdu il y a 3 ans
Je ne pouvais pas,
Ne pas penser à toi,
Rien qu'un instant.
J'étais à ton chevet
Et toi sur ton lit mort.
Moi je pleurais,
Pendant que toi tu dort.
Tu t'étais bien battu
Contre cet "assasin",
Mais ton corps ne fonctionne plus
Et ton cerveau ne répond plus rien.
Chaque jour que je passe sans toi
Chaque anniversaire où tu n'est pas là
Me remplit un peu de chagrin
Car je ne te verrais plus jamais, ni le soir ni le matin.
Je suis mutilé de partout,
Mutilé par une absence,
Une absence qui n'a pas de sens,
Pourquoi cela nous est-t-il arrivé à nous ?
Un mot, 4 lettres que j'ai envie de crier sur tout les toits,
Trop lourde, trop dure je ne sais pas;
Mais une chose est sûr j'ai besoin de toi :
PAPA
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Une sélection de mes courts poèmes !
Je suis à ma fenêtre A quoi bon espérer ta présence
En train de regarder les nuages Si au fond de toi même tu te sens ravagé
C'est fou comme ils ont l'air Rentre chez toi, je pense
De ressembler à ton visage C'est mieux après tout ce qui s'est passé
Une larme ne pourra pas déverser ton chagrin immense
Cela fait plusieurs jours que je te connaît Mais elle peut l'atténuer.
Tu ne le sais peut-être mais j'ai une photo de toi à mon chevet Pourquoi pleurer en silence,
J'aime bien le ma me réveiller avec ton sourire Alors que tu peut clamer la vérité.
Regarder la pluie ete dire qu'une journée sans toi est bien pire.
Ne laisse pas cette souffrance
Et cette colère te gagner
Ca fait 3 ans que j'essaye Mais combat les avec méfiance
De te rendre un hommage solennel Je serais là pour t'aider
Et 14 ans que je sais
Que dans ton dos se trouve des ailes
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Le poème que vous lirez n'est pas essentiellement de moi, c'était un travail de 5 ème que j'ai fait avec nem22(profil sur kazeo).
L'amour est commne rose au printemps,
S'épanouissant sous le soleil, attendant.
Le jour où cupidon viendra,
Là-bas, on sencontrera
L'amour est un verbe immortel
Qui, à tout le monde donne des ailes.
Je ne peux vivre sans toi
Je t'en supplie ne m'oublis . . .
Quand cupidon a crevé nos coeurs
J'ai tout de suite ressenti le bonheur
Mon coeur ne bat plus que pour le tien
Du jour à la nuit, du crépuscle au matin.
L'amour est un verbe passionnel
Qui à tout le monde donne des ailes.
Je t'aime, je pense tout les jours à toi
Je t'en supplie ne m'oublis pas . . .
Je nous imagine tous les deux sur la plage
Nous sommes heureux malgré notre jeune âge.
Nus nous aimons comme au premier jour
Et cela durera . . . toujours . . .
Jamais je ne t'oublierais mon amour
Un grand merci à nem22
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Voici le commencement de mon premier grand roman; n'hésitez pas à envoyer vos com's
P.S: voici l'adresse e-m@il de l'auteur prommetteur que je crois être :
(demandez-la moi dans un com)
La sonnerie retentit et il courut en trombe vers la sortie; en elques minutes le collège devint vide.
Comme tous les jours, à la sortie du car, il trainait 2 à 3 minutes à côté de la boulangerie.
2 minutes, c'est assez long pour que le car s'en aille et que tous les élèves rentrent chez eux.
A son habitude, il rêvait tout en regardant ses pieds; c'est à cet instant que le soleil qui lui chauffait la tête de ses rayons n'était plus, à ses pieds se trouvait une omb large comme celle d'un colosse, il levit sa tête pour apercevoir cet homme.
C'était Georges et sa bande, des vieilles rackaillles pourris qui rackattent les plus petits qu'eux ou les frappent sans raison. Malgré qu'il soit un 3ème comme eux, il était la risée collège, même au yeux des sixièmes.
Personne ne voulait de lui, tellement que les travaux, en équipe ou à deux, il les faisait tous seul.
Un souffle d'ar parcourut ses oreilles, c'est là qu'il vit un poing qu'il ne put éviter, cogner sa tête qui s'écrasa contre la vitrine de la boulangerie.
° ° °
Il se réveilla avec un énorme cockard à l'oeil droit et le nez en sang; après avoir garder sa montre il se rendit compte que ses petites minutes de tranquilité s'étaient transformée en une demi-heure cauchemardesque.
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